Sous couvert d’une ode à la nature et à l’écologie, Da Capo affiche une filiation évidente avec un certain cinéma, comme celui d’Éric Rohmer, jouant avec la poésie des mots comme avec celle plus indocile de l’image de la nature. C’est une vitrine grande ouverte sur l’amour, la transmission et l’absence de la moindre intervention de l’homme sur un espace doux et sauvage.