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Le projet de Juliette Richards, White Velvet est un disque sans prétention qui si on lui en donnait les moyens pourrait se déployer dans un espace plus grand. Si les influences vont de Bjork à Lana del Rey, sans que celles-ci se fassent trop ressentir, la jeune femme s’employant à se créer un univers propre. Inclassable, flirtant autant avec une pop hybride et expérimentale (Winter) et un mainstream moins recommandable (la production de « Don’t trust The Tide » !!). En recherche de son, autant qu’en recherche de son chemin, White Velvet tâtonne (Morning Sun), change de cap quand on ne s’y attend pas (Adulthood) et termine pour trouver notre adhésion en attendant un album qui devrait tracer le chemin, reste à savoir lequel. À suivre.




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