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Joseph Léon nous présente son nouvel album "The Bare Awakening"

The holiday song :

c’est une chanson d’amour et de vacances écrite pour Brisa Roché avec qui je chante sur le titre. Le résultat me fait penser un peu à du J.J.Cale.

One for Money :

une charge un peu acide contre les artistes qui ne donnent au public que ce qu’il veut bien entendre et qui se transforment pour l’argent en mannequin pour les grandes marques, qui payent leurs impôts dans les paradis fiscaux et qui osent souvent après organiser des concerts de charité pour l’Afrique ou pour toutes les bonnes causes (et il y en a).

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Mother Earth :

une chanson qui évoque la beauté de la Terre et sa mise à sac, une chanson qui prône l’écologie en somme

Sophie’s Tune :

une chanson d’amour pour une fille que j’aimais et qui s’est tirée avec un autre mec. Et qui s’appelle Sophie, c’est un titre un peu "early Beatles" je trouve.

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A good time to pray :

c’est une prière pour la mère de Sophie décédée d’un cancer dans un registre que je voulais un peu gospel. Une sorte de chanson qui prône la foi en évitant la religion.

Love Fiction n°7 :

c’est un titre qui parle d’une relation amour/haine avec une fille très vaniteuse qui travaille dans la pub. C’est construit comme des petites scènes, des petites pubs avec le refrain comme un jingle à la gloire de cette fille. Une chanson un peu inspirée pour les textes de "Sexy Sady" de John Lennon.

Stupid tears :

un titre assez léger dans le style de Roy Orbison écrit pour une fille que j’aimais et qui s’est barrée :) c’est une chansons d’auto-critique parce que j’ai pu être insupportable avec elle et je comprenais qu’elle se tire. Mais un titre aussi qui finit par une critique du métier de mannequin dans lequel tu n’es jamais assez maigre et qu’elle exerçait avant de me rencontrer.

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The bare awakening :

pure chanson d’auto critique, une demande de pardon, expression de regrets pour le mal que j’ai pu faire quand j’étais alcoolo. Le résultat me fait beaucoup pensé musicalement à du Lennon dans le style "Cold Turkey" ou "How do you sleep at night" avec un solo de guitare très Harrisonien de Mathias Durand.

My Crazy Valentine :

ce titre évoque une relation d’amour toxique que j’ai vécu avec très belle jeune femme très narcissique et beaucoup moins âgée que moi. Je lui souhaite dans la chanson de guérir de sa perversion et la met en garde contre le monde du mannequinat qui use souvent les filles et les met quelques années plus tard à la poubelle câmées et flétries. Bref une ballade vraiment triste écrite en cure de désintoxication.

God’s Forgotten Daughter :

peut être mon titre préféré de l’album qui parle de la dureté d’être junkie ou alcoolo, de la difficulté de trouver un sens à sa vie, des gens qui s’éloigne, des insomnies, et du sentiment de manque.

Search you will find :

Une chanson assez moderne sur l’enfer urbain, sur la laideur de la ville, l’indifférence des gens les uns à l’égard des autres, de la cupidité, etc...un peu dans le style de Radiohead

Let me Out :

j’ai écrit cette chanson un mois d’aôut très chaud en revenant d’une difficile étape en ville remplie de voitures surchauffées. Je me sentais étouffer et je voulais juste rentrer chez moi et m’allonger dans le jardin sous un arbre. C’est une chanson un peu grunge musicalement.



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