> Critiques > Labellisés


  • 10 novembre 2008 /
    Primal Scream
    “xterminator”

    rédigé par gdo
      notez cet album


Après 15 ans de drug and rock n’roll primal scream aurait il grandi. Affranchi de love, des byrds de shaun ryder, débarrassé de cet idéal maboul de devenir le sauveur du Rock n’roll, Bobby Gillepsie et le restant de sa bande (beaucoup sont passés par la trappe) sortent avec cet xterminator leur meilleur album. Après Mogwaï primal scream sera l’un des premiers à faire ressortir Kevin Shields de sa boite pour trois morceaux, un accelarator sur-saturé, le shoot speed/kill light qui fera regretter une fois de plus la mort de Ian Curtis ou remercier le ciel de ne pas voir celui ci animer un dance floor. Kevin Shields se voit même honoré sur MBV arketra (if they move kill ’em) , fugue jazzy dans l’univers de My bloody valentine. Rien que pour cela Primal Scream pousse au respect. Si l’album commence par l’explosif kill all hippies c’est pour mieux faire table rase, pilonnages du sol et chant de victoire à l’hélium (you’ve got the money i’ve got the soul). Bobby commence par un fuck salutaire. Si extreminator n’est qu’un vulgaire robot jouet désuet et mal ficelé, le swastika eyes (jargz krooner mix) ridiculise les chemical brothers surfant à merveille sur une mer démontée, la planche dans le tube. Une bombe. Tout y passe chez Primal sceam, tout doit être détruit CAR même la démocratie est en danger (pools). Bobby se voit en campagne électorale. Planquez les champignons, fuck, fuck, fuck. Si blood money s’invite sans fracas chez Red sapper, keeps your deams calme unE dernière fois le tonnerre. Gillepsie y es y ridicule. Extermination pour tout le monde (insect royalty) et la nique au(x) système(s). Derrière son foulard téchno-rock, primal scream cri sa rage du monde comme le clown sa joie de vivre. Gillepsie à un gros nez rouge qui explose quand il s’allume.




 autres albums


 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.