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Ils sont étranges chez Oméga point records, ils s’obstinent à déterrer les morts, à jouer avec des dépouilles de gens à peine présentables, vivantes, prononçant des oraisons funèbres uniquement quand un soldat américain dessine un croissant de lune au dessus d’une plage abandonnée par la paix. Uber cool kung fu sort d’un cimetière que même accompagné de marylin manson déguisé en Mireille Mathieu sous ecsta je m’interdirais d’arpenter. Les tueurs d’Hollywood y rodent et leur façon de taper rappel plus Albert dupontel jouant avec un extincteur que les ravissements rythmiques de calexico. Sous son allure électro métallo punko, uber cool kung-fu parvient à glisser des moments de tension stellaire (le magnifique stained) profitant peut-être pour nous amadouer avant de nous mordre. Ne touchant que de loin l’envie de me transformer en mort vivant je garderais loin de mois cette fille aux paillettes de hard discount pour me plonger dans les mémoires pas trop propres non plus de benoît 16.




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