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Conceptualisé comme un album de Sufjan Stevens, Henning lui ne décrit pas la baviére, mais sa maison, passant de la cuisine à la salle de bain en passant par la télévision. Je vois déjà les strasburgeois me parler d’un certain Lénonard et de sa moustache ridicule, mais que nenni, Henning ne tacle pas il fait le ménage du sol au plafond, utilisant la technologie agrémentée de rythme parfois exotique.Un peu d’air sur Daddy’s gone finira par nous aérer, car la maison d’Henning n’est certainement pas équipée de VMC, et l’humidité et son odeur si caractéristique est un des facteurs agravants de cette habitation dans laquelle nous ne pourrions vivre qu’à condition de ne posséder qu’un cartion d’un écrabt LCD. Désuet et parfois dérutant, la musique d’Henning charme autant qu’elle irrite, puisant sa source de chaleur dans une région profonde (rejoigannt sufjan par un tunnel le long du magnifique trying to became a landscape). Pas prêt d’être exproprié, Henning parviendra à sous louer certaine de ses piéces, contre des cours de chant et des tarifs réduits pour des séances de psychanalise. La maison des extrêmes.




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