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Ya de quoi en manger son précis de géopolitique, avant de s’empiffrer d’un missel, tout juste sorti de la naphtaline que mémé avait pris bien soin de se servir. Car tout fout le camp. Les anglais jouent à une touche de balle à terre, les Japonais se débrident les yeux, Jackson est enfin tout blanc, et le disque de bluegrass et de country le plus étonnant, de par son respect face à l’histoire de cette musique du fond des états Unis…nous arrive de Suède. La seule entorse à l’histoire sera, et comment les en condamner, de délaisser le déguisement de rigueur pour une costume trois pièces avec cravate. Sinon tout y est, le violon, les chansons à boire, à fumer, à baiser, et le banjo, et les traditionnels d’un pays qui semble s’évertuer à les délaisser pour une alternative toujours plus sombre. De là à ce que la Suède soit annexé comme un nouvel Etat américain, il n’y qu’un pas que les frangins Rockridge pourraient organiser.




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