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Il y a plus de quinze ans Katerine étonnait le rock d’ici avec son « Education Anglaise ». Il nous surprenait, nous prenant par surprise. Alors que Dirty de Sonic Youth nous faisait rugir, un type nous faisait chanter des chansons qui n’avaient pas l’air d’y toucher. Alors que nous sommes toujours des adeptes de la guitare labourant de larsen nos oreilles, l’effet de surprise que constituerait un disque comme celui de Tante Hortense est plus aléatoire. Stéphane Massy nous parle de sa vie. de façon subtil mais désuète, nous ramenant à un certains cinéma qui se promènerait entre Rivette et Rohmer. Les contes ou histoires de Tante Hortense ne sont pas pour enfants, ou alors des grands, des pas sages, de ceux qui fouillent bien plus loin que dans les poches. Tata met l’âne devant la femme, mais vite le contraire, avant de contrebalancer les sexes pour finir par une conclusion douteuse et longue en bouche (sic). Une tante indigne, une Tante qui si elle en avait, on l’appellerait mon oncle. Attention aux apparences.




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