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Peut habituer à tutoyer autant les fonds marins, glitterhouse vient pourtant de se fendre d ’une sortie aussi bizarre que incohérente. Mainstream au possible, lampshade essais de ramasser les chutes de chez Under Byen ou de n’importe quel groupe kyosque (le concept kyosque, c’est tu sembles torturé, tu es griffé, tu chantes avant de brailler, et ensuite généralement tu vas lasser et pas que tes pompes). Lampshade introduit lentement, monte lentement, fini par un attroupement de son devant autant aux dernières vociférations d’une guitare sous OGM qu’à la proximité du feu (sacré ?). Si le timbre colle parfaitement à ce style, l’enveloppe est à l’envers et surtout elle sent aussi bon q’une armée de gremlins se baignant dans une marmite de roquefort. Avec l’efficace come on in lampschade devrait me donner tord, mais j’aimerai dans ce cas que glitterhouse retrouve la raison. Scaphandrier c’est à droite, la poupée n’est pas gonflable, pour remonter venez, j’ai une route meilleure.




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