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Le premier single tiré de Good News est Float on, sorte d’hymne, de cri belliqueux qui vous incite à chanter a gorges déployées, comme le veut l’expression. Le petit clip qui accompagne ce single, montre le groupe, jouant dans une espèce de boite a musique, avec plusieurs plans, plusieurs tiroirs, et des moutons, beaucoup de moutons. Good news est un peu tout ça, une superbe boite à musique qui regorge de nombreuses mélodies, de différents plans et plusieurs envies. On passe d’un Float On entraînant, a the World at Large magnifique, tiré sur quatre minutes trente deux par un petit riff de guitare, à cet étrange this Devil’s Workday, sorte de chanson saoule, chanté comme un ivrogne dans un bar malsain, avec des cuivres à la limite de la justesse, un très grand moment. Parfois Modes Mouse me fait penser à un Guided By Voices, pour l’abondance des titres, pour cet facilité à créer des chansons parfaites, mélangé avec Built to Spill, pour ces guitares, pour les morceaux un peu psychédélique, et pour le même type de voix un peu décalé. Il y a sur ce disque de grands moments, des morceaux qui s’enchainent tellement bien les uns les autres qu’il n’y a pas de temps mort, qu’à chaque nouveau morceau un " oh yeah " sort de notre bouche, à la suite d’un morceau comme Ocean Breathes Salty, ou comme après le morceau final le très beau The Good times are killing me, qui nous enterre définitivement et fini de nous convaincre que Good News est encore un sacré grand disque. Encore un pour Modest Mouse. En tout cas si vous ne deviez posséder qu’un seul disque de ces joyeux drilles, vous hésiteriez sûrement entre The Moon & Antarctica et Good news…Je vous comprends, mais pour moi le choix est déjà fait. En vous remerciant




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