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La gageure semblait impensable, remplacer dans le futur sixteen horsepower tout juste annonciateur de sa séparation. Le faire avec une femme encore plus. Avec un deuxième album distribué enfin chez nous, Leslie woods contraint nos prédictions les plus pessimistes à prendre des vacances chez Magic, et surtout à notre enthousiasme de reprendre du service en des temps bien moroses. The luxxury of sin est un album lourd par son atmosphère, mais brillant par ce qu’il dégage. On croirait ce disque sorti des malles de la grand mère de brenda khan et laissé à l’abandon par la petite fille par peur d’y voir sortir des araignées ; Il en sort des monstres malgré tout, mais la belle Leslie a le don de les chasser leur chantant que l’union entre eux pouvait être un cauchemar pour eux. Accompagné d’un impeccable et sobre dark mountain orchid Leslie fait tout trembler surtout sous un sky so pale à la suggestivité terrifiante. C’est que Leslie a plus d’une arme dans sa poche et le colt qu’elle porte d’une façon nonchalante n’est peut-être pas la seule arme d’un crime qui nous vaudra de passer du temps avec ce disque. La belle a le charme des filles de joie dans un vieux western hollywoodien, mais la hargne d’une fille du desert en plus. Frisson énorme.




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